
La douleur suscite beaucoup de mots et de maux pour compenser les uns avec les autres. Parler de la “douleur” est parfois perçu comme le vol d’un secret qu’il ne faut surtout pas divulguer par crainte de jugement.
L’utilisation de “mot tabou” fait peur et empêche parfois un grand nombre de personnes de prendre soin d’elles. Accéder au bien-être de manière simple et ludique est un moyen de se sensibiliser à d’autres ouvertures pour s’épanouir, sans pour autant avoir le besoin d’évoquer les mots associés aux maux.
Un mot est une interprétation qui peut laisser plus de traces que les maux eux-mêmes. S’autoriser à être curieux pour soi-même, sans aucune obligation représente une 1ère porte vers la réelle liberté d’être soi.