
La maladie ou la double peine : celle de ne plus pouvoir répondre à ses réelles envies et celle d’être exclu des autres par le regard. Il a la capacité de poser un jugement juste par la vision surtout lorsque la maladie s’invite devant le miroir.
La maladie n’est pourtant ni un échec ni une punition. Passer outre son propre regard et celui des autres pour se positionner et s’affirmer n’est jamais impossible, sans jamais s’ignorer.
La maladie a le défaut de limiter alors que la vie a l’avantage d’ouvrir. Se faire plaisir est le premier pas vers le bien-être.