
La bienveillance telle que nous la connaissons ne reflète qu’une infime partie de la réelle bienveillance qu’il peut exister entre deux personnes avec son environnement. Elle ne s’arrête surtout pas qu’à une écoute attentive ou des visites régulières chez une personne pour avoir de ses nouvelles.
La réelle bienveillance passe d’abord par l’envie de se découvrir soi mais sans jamais rejeter la possibilité de vérifier très concrètement et réellement ses pensées envers une personne. Les pensées sont des indices sur l’existence de peurs qui peuvent être fondées ou non. Seule la médiation avec une sincérité affichée des deux cotés peut mettre fin à des multiples interprétations.
Le mental et la conscience sont des énergies soumises aux aléas d’autres énergies qui ont également des mémoires et des envies de nuire ou de sauver. Elles ne sont pas toujours visibles ou repérables. Repérer les indices permet de prendre conscience des réels dangers présents.
La bienveillance est donc avant tout d’oser exprimer ses ressentis pour être authentique et sans aucun jugement en contre partie mais en sachant prendre des précautions pour ne pas heurter les blessures de chacun : le respect.
La bienveillance est également présente dans la vitesse du temps qui passe et ses conséquences sur le physique. L’âge n’est qu’un leurre. L’ identifier et en prendre conscience est un acte de bienveillance pour soi pour s’éviter des jugements sur soi ou sur les autres qui ont des conséquences invisibles. Le jugement fait plus de ravages qu’il ne règle les situations.
Les actes de bienveillance sont infinis à partir du moment où ils prennent en compte une réelle volonté de découvrir toutes les facettes de ses propres comportements en lien avec les influences de son environnement. Cette volonté de découverte facilitera l’autonomie.