
La bienveillance envers soi telle que nous la connaissons ne reflète qu’une infime partie de la réelle bienveillance telle qu’elle peut exister. Elle ne s’arrête surtout pas qu’à une écoute attentive, une aide ou une prise de soin de son corps ou de sa tête pensante.
La réelle bienveillance envers soi passe d’abord par l’envie de se découvrir soi mais sans rejet des autres. L’un n’est alors jamais déconnecté de l’autre et l’un ne déborde jamais sur l’autre et vice-versa.
Le mental et la conscience sont des énergies soumises aux aléas d’autres énergies. Elles ne sont pas toujours visibles ou repérables mais agissent de manière inconsciente. Elles leurrent la vision et la perception du monde environnant.
Les actes de bienveillance envers soi sont infinis à partir du moment où ils prennent en compte une réelle volonté de découvrir toutes les facettes de sa propre personnalité.